Voici quelques ouvrages parlant de l’Improvisation Libre – La liste est bien sûr non exhaustive…
« Dialogue sur l’improvisation musicale » de Patrick Scheyder, Ed. L’Harmattan. Coll. Science de l’Education Musicale
(livre découvert récemment en recherchant des possibilités de lectures sur le sujet !! Il semble en parfaite adéquation avec ma propre façon d’envisager l’improvisation, même dans le choix et le déroulement des exercices proposés !!)
Résumé : « l’interprétation se trouve l’improvisation, territoire enchanteur mais quelque peu méconnu, autant espéré que redouté. Ce livre témoigne d’une expérience de l’improvisation, des interrogations et des réflexions qu’elle suscite. Il ne s’agit pas d’un manuel pratique mais plutôt d’une pratique ponctuée d’entretiens, d’un rappel historique et de multiples questions. »
Un extrait de l’article d’Agnès Vesterman. Celle-ci s’intéresse de très près à l’improvisation et son article en parle magnifiquement. Elle y fait également des liens avec la Technique Alexander qui sont fort intéressants.
« Plaidoyer pour l’improvisation dans l’apprentissage instrumental » de Volker Biesenbender, Ed. Van De Velde. Coll. Musique et société.
Résumé : « Ce livre s’adresse à tous ceux, professionnels ou amateurs, instrumentistes, enseignants ou élèves, qui aiment la musique et ne se sentent peut-être pas toujours aimés d’elle, tous ceux qui essaient d’apprendre à jouer d’un instrument et ont parfois renoncé devant la difficulté de “la technique” ou la déception née de ce qu’on voudrait exprimer comparé à ce qui “sort” de l’instrument. L’auteur nous propose tout simplement de réconcilier la pratique instrumentale et l’être humain, la musique classique occidentale et toutes les musiques.
S’opposant au rationalisme des pédagogies héritées du IXe siècle qui font totalement l’impasse sur la véritable nature, acoustique, de la musique, il expose de façon originale les principes de sa pédagogie. En replaçant la perception auditive au tout premier plan de l’acte d’apprendre, il reconsidère les concepts conventionnels de l’enseignement musical afin de donner toute leur place à la musique, à l’instrument et au musicien dans un ensemble unique et intégré.
Volker Biesenbender, élève de Yehudi Menuhin et Rami Shevilov obtient en 1985, à Paris, le 1er prix d’improvisation au concours Yehudi Menuhin. Il se produit en soliste avec des orchestres réputés, se passionne pour les musiques extra-européennes, le jazz, la musique tzigane. Parallèlement, il enseigne la musique de chambre et l’improvisation au conservatoire de Zurich- Winterthur, et donne des conférences sur la pédagogie à travers le monde. »
« 1OO recettes faciles et délicieuses à l’intention des élèves gourmands et des professeurs curieux » de Claude Henry Joubert, Ed.. ZurfluH – ISBN 2-87750-094-2
Résumé. « Un ensemble d’exercices pratiques pour les élèves musiciens. »
« Réflexions sur l’improvisation libre non idiomatique » ARIAM collection.
« Plusieurs communications ont été commandées par l’Ariam Ile-de-France au cours des deux précédentes années dans le cadre des rencontres régionales d’improvisation qui, réunies, font l’objet de cette publication.
En 2004/2005, Jean-Yves Bosseur, François Rossé, Rainer Boesch et Alain Savouret ont exploré le sujet suivant : De la nécessité de l’improvisation dans la formation et la pratique du musicien. En 2005/2006, d’autres contributions ont permis de poursuivre la réflexion : celle de Didier Petit sur L’incapacité de faire n’importe quoi, Rainer Boesch sur De la virtuosité (en improvisation) et enfin Geneviève Laulhère-Clément sur L’émotion et le geste improvisé chez l’enfant. »
« Le zen dans l’art chevaleresque du tir à l’arc » de E. Herrigel. Ed. Dervy
Résumé : « Atteindre la maîtrise de soi, comprendre que nos actes sont étroitement liés à notre état d’esprit, puisque le lâcher de la flèche, ou plus généralement les actions peuvent se réaliser en dehors de l’expression de la volonté, comme un fruit mûr se détache de l’arbre, voici le chemin mené dans la voie du Zen par Eugen HERRIGEL dans l’art du tir à l’arc. L’élève est ici guidé vers la connaissance et vers l’expérience de ce qui le ou nous dépasse, vers la compréhension de ce que veut dire « quelque chose tire », « quelque chose touche le but ».